Enfin dans les exemples disponibles la plupart sont quand-même plutôt des "mosaiques".
Une calade, "une vraie" (le terme est excessif) se réalise à sec, même si rien n’empêche d'utiliser du mortier pour ficher les pierres au sol, le remplissage c'est du sable.
Il n'y a pas de différence fondamentale entre une rue en "pavé du nord", les "calçadas portuguesas" ou une draille empierrée cévenole. Le principe, simple, est de serrer sur un lit de sable des pierres plus hautes que larges. C'est solide si la pierre est solide.
Le temps (circulation, intempéries) se chargeant de les arrondir.
La seule étape "fastidieuse" c'est la manutention et le tri des pierres.