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Isolation écologique / Re : Cloison bois broyé & chaux : des expériences ?
« le: 05 mars 2014 à 08:24:12 »
et pourquoi pas du banchage bois broyé - terre ?
Quelqu'un a t'il essayé ?
Merci
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Réhabilitation / Re : Pose d'une double carrée de chêne
« le: 05 mars 2014 à 08:21:30 »
bonjour,
votre ouverture est en rdc dans la partie maçonnée à la pierre ? dans le 1er message j'avais cru comprendre que c'était à l'étage dans la partie en bauge.
La pièce de bois que vous voyez dans le sens du mur joue le rôle d'un "palatre" il a pour but de répartir les charges portées par les solives (poutres) sur tout le mur et non pas seulement sur un point d'appui.
A quel niveau doit arriver votre carré / pièce de bois ?
PS : Gérard je veux bien l'article si possible... Merci d'avance,
votre ouverture est en rdc dans la partie maçonnée à la pierre ? dans le 1er message j'avais cru comprendre que c'était à l'étage dans la partie en bauge.
La pièce de bois que vous voyez dans le sens du mur joue le rôle d'un "palatre" il a pour but de répartir les charges portées par les solives (poutres) sur tout le mur et non pas seulement sur un point d'appui.
A quel niveau doit arriver votre carré / pièce de bois ?
PS : Gérard je veux bien l'article si possible... Merci d'avance,
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Isolation écologique / Re : [Maison en pierre de 1850] Rendre un mur en pierre apparent "frein-vapeur" ???
« le: 16 février 2014 à 16:32:51 »
Salut,
as tu fait des essais sur les logiciels en ligne gratuit permettant de calculer le point de rosée ? (même si sur un mur de pierres hourdées à la terre ce n'est pas évident)
Sur ce type de mur avec des matériaux originels favorisant la migration de la vapeur d'eau, il faut surtout savoir si l'enduit que tu va mettre sur ta laine de bois en ITE va être ouvert à la vapeur d'eau, ce qui serait plutôt bon. L'idéal, à mon avis, étant que ton parement extérieur (enduit) soit plus ouvert à la vapeur d'eau que ton revêtement intérieur (joints des pierres).
Concernant la perméance des pierres, j'ai un p'tit doute, surtout s'il s'agit de granit. La vapeur d'eau passera par les joints mais pas par les pierres.
Une maison en pierres peut être étanche à l'air via les joints et / ou les enduits sans être totalement imperméable (quid aussi des menuiseries...). L'étanchéité à l'air n'est pas incompatible avec la perméance. La preuve avec l'isolation en toiture où l'étanchéité à l'air se fait avec le frein vapeur qui laisse passer la vapeur d'eau.
as tu fait des essais sur les logiciels en ligne gratuit permettant de calculer le point de rosée ? (même si sur un mur de pierres hourdées à la terre ce n'est pas évident)
Sur ce type de mur avec des matériaux originels favorisant la migration de la vapeur d'eau, il faut surtout savoir si l'enduit que tu va mettre sur ta laine de bois en ITE va être ouvert à la vapeur d'eau, ce qui serait plutôt bon. L'idéal, à mon avis, étant que ton parement extérieur (enduit) soit plus ouvert à la vapeur d'eau que ton revêtement intérieur (joints des pierres).
Concernant la perméance des pierres, j'ai un p'tit doute, surtout s'il s'agit de granit. La vapeur d'eau passera par les joints mais pas par les pierres.
Une maison en pierres peut être étanche à l'air via les joints et / ou les enduits sans être totalement imperméable (quid aussi des menuiseries...). L'étanchéité à l'air n'est pas incompatible avec la perméance. La preuve avec l'isolation en toiture où l'étanchéité à l'air se fait avec le frein vapeur qui laisse passer la vapeur d'eau.
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Réhabilitation / Re : remplacement toiture et isolation sous combles
« le: 09 février 2014 à 14:16:46 »
ok, merci
vos entraxes font combien ?
vos entraxes font combien ?
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Réhabilitation / Re : Etenchéité d'un pignon exposé ouest
« le: 06 février 2014 à 10:26:47 »
Bonjour,
Votre pignon a t'il été rempanné ? L'air peut peut être venir de la liaison couverture / maçonnerie du pignon ?
C'est ce que m'inspire votre message
Votre pignon a t'il été rempanné ? L'air peut peut être venir de la liaison couverture / maçonnerie du pignon ?
C'est ce que m'inspire votre message
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Réhabilitation / Re : cloisons bois sur parquet
« le: 06 février 2014 à 10:20:58 »
Bonjour Gérard,
Je déterre ce post...
Avez vous d'autres solutions / idées pour la rainure servant à caler une cloison bois sur du parquet ?
Me concernant, pour le moment j'ai accès aux solives par le dessus car je viens de retirer le plancher du grenier afin de remettre tout de niveau et poser un parquet sur lambourdes.
Je suis en train de voir comment intégrer au mieux mes futures cloisons en ossature bois et j'ai plusieurs hypothèses :
- caler une lisse basse sous parquet sur solives ou avec des entretoises suivant le positionnement (axe) de la cloison par rapport aux solives avec une rupture phonique entre cloison et solives.
- poser ma lisse basse directement sur le futur parquet avec une rupture phonique sous la lisse basse : pb si je fais une rainure avec des tasseaux chanfreinés je les verrais car ils seront au dessus du parquet. Je pourrais aussi fixer la lisse basse sur le parquet mais je ne trouve pas ça terrible.
Autre point qui me questionne : les solives risquant de bouger dans le temps, avez vous des préconisations concernant la stabilité des cloisons qui pourraient suivre le mouvement de descente (même minime). Faut-il prévoir qq chose pour palier à cet éventuel mouvement ?
Merci pour vos lumières
Je déterre ce post...
Avez vous d'autres solutions / idées pour la rainure servant à caler une cloison bois sur du parquet ?
Me concernant, pour le moment j'ai accès aux solives par le dessus car je viens de retirer le plancher du grenier afin de remettre tout de niveau et poser un parquet sur lambourdes.
Je suis en train de voir comment intégrer au mieux mes futures cloisons en ossature bois et j'ai plusieurs hypothèses :
- caler une lisse basse sous parquet sur solives ou avec des entretoises suivant le positionnement (axe) de la cloison par rapport aux solives avec une rupture phonique entre cloison et solives.
- poser ma lisse basse directement sur le futur parquet avec une rupture phonique sous la lisse basse : pb si je fais une rainure avec des tasseaux chanfreinés je les verrais car ils seront au dessus du parquet. Je pourrais aussi fixer la lisse basse sur le parquet mais je ne trouve pas ça terrible.
Autre point qui me questionne : les solives risquant de bouger dans le temps, avez vous des préconisations concernant la stabilité des cloisons qui pourraient suivre le mouvement de descente (même minime). Faut-il prévoir qq chose pour palier à cet éventuel mouvement ?
Merci pour vos lumières
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Réhabilitation / Re : remplacement toiture et isolation sous combles
« le: 05 février 2014 à 17:34:29 »
ok, merci
concernant la rainure, avez vous utilisé une astuce pour ne pas trop galérer avec la défonceuse pour rainurer droit : en appui sur le chevron le long de la panne ?
Merci
concernant la rainure, avez vous utilisé une astuce pour ne pas trop galérer avec la défonceuse pour rainurer droit : en appui sur le chevron le long de la panne ?
Merci
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Réhabilitation / Re : remplacement toiture et isolation sous combles
« le: 05 février 2014 à 15:18:07 »
merci pour le CR ça me donne des idées
bien vue la rainure
quid : as tu du relier ton contrechevronnage à tes chevrons, ou autres, par des liens verticaux pour éviter qu'il ne fléchissent avec le poids du lambris et de l'isolant ?
bien vue la rainure
quid : as tu du relier ton contrechevronnage à tes chevrons, ou autres, par des liens verticaux pour éviter qu'il ne fléchissent avec le poids du lambris et de l'isolant ?
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Isolation écologique / Re : Cloison bois broyé & chaux : des expériences ?
« le: 05 février 2014 à 08:36:56 »
Bonjour Gérard,
J'ai effectivement vu ton blog, très instructif, et je m'en suis inspiré. Ma principale problématique est de combiner légèreté et acoustique. D'où l'idée du copeau - chaux, moins onéreux que le chanvre - chaux.
Au début je souhaitais faire les cloisons en torchis mais ça serait trop lourd...
Concernant ton blog, question à part : la technique d'ouverture progressive utilisée par le maçon a quels avantages selon ton expérience par rapport à une ouverture intégrale avec étais... ça me semble à priori plus long en raison du fait que tu dois faire des va et vient de chaque côté du mur pour remaçonner. Est ce que je me trompe ?
C'est peut être aussi plus sécurisant ?
Merci
J'ai effectivement vu ton blog, très instructif, et je m'en suis inspiré. Ma principale problématique est de combiner légèreté et acoustique. D'où l'idée du copeau - chaux, moins onéreux que le chanvre - chaux.
Au début je souhaitais faire les cloisons en torchis mais ça serait trop lourd...
Concernant ton blog, question à part : la technique d'ouverture progressive utilisée par le maçon a quels avantages selon ton expérience par rapport à une ouverture intégrale avec étais... ça me semble à priori plus long en raison du fait que tu dois faire des va et vient de chaque côté du mur pour remaçonner. Est ce que je me trompe ?
C'est peut être aussi plus sécurisant ?
Merci
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Isolation écologique / Re : Isolation de plancher avec du chanvre en vrac : retours d'expérience ?
« le: 04 février 2014 à 23:11:41 »
oui, si je n'avais pas déjà un lattis avec terre sous les solives
mais pour mon pb de poids ça ne le fait pas du tout par contre
mais je reste persuadé que c'est une bonne technique
mais pour mon pb de poids ça ne le fait pas du tout par contre
mais je reste persuadé que c'est une bonne technique
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Isolation écologique / Cloison bois broyé & chaux : des expériences ?
« le: 04 février 2014 à 11:21:28 »
Bonjour,
Je souhaite réaliser des cloisons à l'étage avec comme critères principaux l'efficacité acoustique et la légèreté en raison d'un solivage un peu "léger".
Je partais sur du chanvre chaux banché dans une ossature bois, mais pour des raisons économiques et pratiques je réfléchis à garder le même principe mais avec du bois broyé assez fin que je dois pouvoir me procurer facilement.
Certains d'entre vous ont-ils déjà réaliser ce type d'expérience ?
Merci d'avance,
Je souhaite réaliser des cloisons à l'étage avec comme critères principaux l'efficacité acoustique et la légèreté en raison d'un solivage un peu "léger".
Je partais sur du chanvre chaux banché dans une ossature bois, mais pour des raisons économiques et pratiques je réfléchis à garder le même principe mais avec du bois broyé assez fin que je dois pouvoir me procurer facilement.
Certains d'entre vous ont-ils déjà réaliser ce type d'expérience ?
Merci d'avance,
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Réhabilitation / Re : Une vieille poutre abîmée
« le: 04 février 2014 à 11:15:54 »
bonjour,
si tu as vraiment besoin de vérifier, tu peux étayer de l'intérieur sous la poutre et dégager un peu de maçonnerie pour t'assurer que les 30cm restant sont encore bon.
Côté extérieur, le trou est certainement du à de l'eau qui ruisselle du mur et qui c'est infiltrée. Pourquoi ne pas tenter de mettre une pierre "plate" qui chapeauterait ta poutre à l'extérieur pour la protéger à minima du ruissellement ?
Sur l'extérieur, de plus sur une face exposée à la pluie, perso je ne mettrai pas de chaux chanvre. Pourquoi ne pas tout simplement maçonner de la même manière que ton mur ?
Les poutres prennent toute la profondeur du mur pour s'appuyer sur les 2 parements (intérieur et extérieur) pour des raisons mécaniques et de durabilité.
Au Nord, façade moins exposé à la pluie en raison des vents dominants (Ouest - Sud Ouest) on pouvait les faire dépasser, le bois ne craint pas grand chose et a le temps de sécher.
Au Sud, façade plus exposée à la pluie, on cherche à protéger le bois, d'où un affleurement / parement extérieur.
Dans l'idéal, on met aussi le pied de la pièce de bois au Sud car plus "habitué" à l'eau et le haut de l'arbre (de la pièce de bois) au Nord...
si tu as vraiment besoin de vérifier, tu peux étayer de l'intérieur sous la poutre et dégager un peu de maçonnerie pour t'assurer que les 30cm restant sont encore bon.
Côté extérieur, le trou est certainement du à de l'eau qui ruisselle du mur et qui c'est infiltrée. Pourquoi ne pas tenter de mettre une pierre "plate" qui chapeauterait ta poutre à l'extérieur pour la protéger à minima du ruissellement ?
Sur l'extérieur, de plus sur une face exposée à la pluie, perso je ne mettrai pas de chaux chanvre. Pourquoi ne pas tout simplement maçonner de la même manière que ton mur ?
Les poutres prennent toute la profondeur du mur pour s'appuyer sur les 2 parements (intérieur et extérieur) pour des raisons mécaniques et de durabilité.
Au Nord, façade moins exposé à la pluie en raison des vents dominants (Ouest - Sud Ouest) on pouvait les faire dépasser, le bois ne craint pas grand chose et a le temps de sécher.
Au Sud, façade plus exposée à la pluie, on cherche à protéger le bois, d'où un affleurement / parement extérieur.
Dans l'idéal, on met aussi le pied de la pièce de bois au Sud car plus "habitué" à l'eau et le haut de l'arbre (de la pièce de bois) au Nord...
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Réhabilitation / Re : Muralière sur schiste
« le: 03 février 2014 à 21:12:56 »
Bonsoir,
ça ressemble à chez moi
La charge principale part sur les arbalétriers qui renvoient la charge sur les sablières (pièce de bois qui filent sur l'arase du mur) qui font notamment le lien entre la maçonnerie et la charpente.
A savoir plus un entrait est haut moins il empêche la ferme de s'écarter... et moins il assure la cohésion entre charpente et maçonnerie (ça dépend aussi du type de ferme). On voit souvent sur les vieilles bâtisses des entraits / solives reliées aux sablières par des liens en bois verticaux pris dans la maçonnerie (peut être la pièce de bois que vous avez aperçu lorsque vous avez changé votre palatre)
Dans votre cas, l'entrait est très basse, et fait surtout office de solive, la jambe de force et son blocage dans la solive doivent certainement assurer la triangulation "parfaite" de la ferme. Il arrive que des solives soient coupées, par exemple pour réaliser des trémies d'escalier. ça été fait chez moi, mais seulement sur la solive / entrait gênant la création de la trémie.
Par contre, la solive coupée l'a été après la liaison jambe de force / solive et les charges ont été réparties sur les solives voisines via le chevêtre.
Du coup, la jambe de force a toujours son appui d'origine.
Je ne sais pas si ça peut vous aider comme descriptif.
Pour que des poutres puissent faire office d'entraits il faut qu'elles fassent partie de la ferme. En étant fixé sur des muralières je ne pense pas qu'elles puissent avoir cette fonction : à confirmer
Une solution qui se fait parfois lorsque des solives ont été retirées et qu'il n'y a plus de liens entre les murs opposées de l'habitation et la charpente, car par exemple les solives ont été mises dans l'axe des pignons, est de tendre un câble muni de ferrures spéciales de manière à assurer un lien entre les 2 maçonneries. Cette technique doit répondre à des règles de l'art que je ne connais pas.
Le mieux étant effectivement de demander conseil à un charpentier.
Bonne soirée
ça ressemble à chez moi
La charge principale part sur les arbalétriers qui renvoient la charge sur les sablières (pièce de bois qui filent sur l'arase du mur) qui font notamment le lien entre la maçonnerie et la charpente.
A savoir plus un entrait est haut moins il empêche la ferme de s'écarter... et moins il assure la cohésion entre charpente et maçonnerie (ça dépend aussi du type de ferme). On voit souvent sur les vieilles bâtisses des entraits / solives reliées aux sablières par des liens en bois verticaux pris dans la maçonnerie (peut être la pièce de bois que vous avez aperçu lorsque vous avez changé votre palatre)
Dans votre cas, l'entrait est très basse, et fait surtout office de solive, la jambe de force et son blocage dans la solive doivent certainement assurer la triangulation "parfaite" de la ferme. Il arrive que des solives soient coupées, par exemple pour réaliser des trémies d'escalier. ça été fait chez moi, mais seulement sur la solive / entrait gênant la création de la trémie.
Par contre, la solive coupée l'a été après la liaison jambe de force / solive et les charges ont été réparties sur les solives voisines via le chevêtre.
Du coup, la jambe de force a toujours son appui d'origine.
Je ne sais pas si ça peut vous aider comme descriptif.
Pour que des poutres puissent faire office d'entraits il faut qu'elles fassent partie de la ferme. En étant fixé sur des muralières je ne pense pas qu'elles puissent avoir cette fonction : à confirmer
Une solution qui se fait parfois lorsque des solives ont été retirées et qu'il n'y a plus de liens entre les murs opposées de l'habitation et la charpente, car par exemple les solives ont été mises dans l'axe des pignons, est de tendre un câble muni de ferrures spéciales de manière à assurer un lien entre les 2 maçonneries. Cette technique doit répondre à des règles de l'art que je ne connais pas.
Le mieux étant effectivement de demander conseil à un charpentier.
Bonne soirée
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Réhabilitation / Re : Interrogation sur liaison arbalétrier et solive / charpente tradi
« le: 03 février 2014 à 18:35:41 »
salut,
j'ai eu ma réponse :
"en fait tout le poids est transféré sur la sablière par le blochet et ces jambettes ne sont vraisemblablement pas sollicitées. Les entraits ont pu descendre un peu, par ailleurs ça n'est peut-être pas chevillé.
Soit tu ne change rien, soit tu peux remonter les solives avec des coins et des cales pour qu'elles reviennent à l'arrase des jambettes, c'est le plus élégant mais ça ne t'arrange peut-être pas au niveau du plancher, ou enfin tu rajoutes une petite cale entre les deux arrases, mécaniquement ça sera suffisant."
j'ai eu ma réponse :
"en fait tout le poids est transféré sur la sablière par le blochet et ces jambettes ne sont vraisemblablement pas sollicitées. Les entraits ont pu descendre un peu, par ailleurs ça n'est peut-être pas chevillé.
Soit tu ne change rien, soit tu peux remonter les solives avec des coins et des cales pour qu'elles reviennent à l'arrase des jambettes, c'est le plus élégant mais ça ne t'arrange peut-être pas au niveau du plancher, ou enfin tu rajoutes une petite cale entre les deux arrases, mécaniquement ça sera suffisant."
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Isolation écologique / Isolation de plancher avec du chanvre en vrac : retours d'expérience ?
« le: 01 février 2014 à 18:34:33 »
Re bonjour,
En retirant le plancher de mon grenier pour y mettre un parquet massif sur lambourdes j'ai découvert l'isolation originelle de l'étage. A savoir des déchets de végétaux (cosses de sarrasin...).
Plutôt que tout virer, comme c'est écolo et que ça a tenu jusque là je pensais compléter avec du chanvre en vrac.
Le plafond de l'étage inférieur est constitué d'un lattis enduit de terre ou de plâtre suivant les pièces.
L'idée est d'avoir un minimum d'isolation phonique et un gain en thermique pour éviter une accumulation de chaleur excessive dans la future chambre du grenier.
Certains ont-il déjà réalisé ce type d'isolation, ont-ils des préconisations particulières ?
Je remplirai jusqu'à ras des solives et je laisserai une lame d'air dans l'épaisseur du lambourdage sous parquet.
http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=836012sondagesolivegrenier110120139.jpg
Merci d'avance,
En retirant le plancher de mon grenier pour y mettre un parquet massif sur lambourdes j'ai découvert l'isolation originelle de l'étage. A savoir des déchets de végétaux (cosses de sarrasin...).
Plutôt que tout virer, comme c'est écolo et que ça a tenu jusque là je pensais compléter avec du chanvre en vrac.
Le plafond de l'étage inférieur est constitué d'un lattis enduit de terre ou de plâtre suivant les pièces.
L'idée est d'avoir un minimum d'isolation phonique et un gain en thermique pour éviter une accumulation de chaleur excessive dans la future chambre du grenier.
Certains ont-il déjà réalisé ce type d'isolation, ont-ils des préconisations particulières ?
Je remplirai jusqu'à ras des solives et je laisserai une lame d'air dans l'épaisseur du lambourdage sous parquet.
http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=836012sondagesolivegrenier110120139.jpg
Merci d'avance,
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