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Messages - sélective

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Très difficile d'envoyer des images, je suis malheureusement un peu ignorante dans ce domaine, j'ai essayé pourtant avant de me rendre compte de la difficulté.

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Bonsoir,

C'est fait, l'huile est mise, elle couvre comme un simple vernis. Le sol reste rugueux et d'aspect  granuleux, assez vilain en somme. De plus, comme, selon les préconisations, il faut poncer légèrement après la deuxième couche de la pseudo" huile de protection", le gravier à certains endroits est mis à nu, le tableau est complet!
Je me console ne me disant que j'ai un sol rustique, paysan d'autrefois, car il a vraiment un air ancien, comme si l'usure du temps avait enlevé des morceaux par ci et  la couleur par là....

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Bonsoir,

Il me paraît risqué de donner le nom du fabriquant, je ne veux la mort de personne, mais je peux donner plus d'informations. Il s'agit donc d'un revêtement final pour sol intérieur, on l'appelle "sol de finition" dont la composition est à base d'argile. Il est censé laisser le sol respirer, mais je ne vois pas par quel biais puisqu'il "l'huile de protection" destinée à le couvrir et à le protéger contient des résines acryliques. Sur le site de la boîte en question, on peut voir des photos de sols parfaitement lisses, un peu béton ciré. Je ne vois pas comment on peut obtenir un tel aspect puisque la matière au départ contient des gravillons plus ou moins gros.

Mais je n'ai pas encore huilé, j'attends de voir le résultat final avant de crier très fort haro sur le baudet.
Voilà Arpèges, j'espère avoir en partie répondu à vos questions.


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Bonjour à tous,

Un mot pour partager mon expérience après la pose d'un sol en argile. L'expérience n'est pas concluante, la matière est très difficile à poser; la technique prend énormément de temps, demande beaucoup de minutie, de patience et de FORCE physique. Les quantités indiquées par le fabricant  sont mal calculées et au bout du compte, il faudrait  ( mais je ne le fais pas) que je me procure encore quelques sacs supplémentaires.  Hormis toutes ces contraintes,  le coût en est exorbitant, car outre  les sacs d'argile qui sont déjà assez chers, il faut une trame en fibre de verre, très chère aussi,  de l'huile de finition ( hors de prix) et puis ceci et cela, si bien que j'ai fini par renoncer à en mettre dans la deuxième pièce.
En revanche, j'ai découvert tout près de chez moi, une petite  tuilerie artisanale, absolument méconnue, qui vend également des carreaux en terre cuite, pas chers du tout ( je ne sais si je peux en donner le nom et le prix, mais je le fais quand même), 38.60 euros le m2, pour des carreaux de 20x20, il s'agit d'une tuilerie lorraine, à Niderviller.


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L'idée du placo est une connerie, je m'en doutais.
Pour répondre à Arpèges, oui, en effet, le terrain est en pente et on a trouvé du sable de grès lorsqu'on a fait la saignée.
Merci pour le schéma et la suggestion de l'enduit Argilus Berlo.
Une question: s'il faut refaire le drain, à quelle distance doit-il être placé par rapport au mur ( extérieur j'entends)
En tout état de cause, vos conseils sont vraiment précieux, je m'en inspire.
bonne soirée

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Bonsoir amis du bâti ancien,

Merci manu taden pour votre suggestion; c'est ce que je fais dans l'immédiat, aérer et rien que ça, mais il faut penser à l'avenir.
Je vous informe de l'avancement de mes travaux:
- j'ai creusé une saignée dans la dalle en béton aux pieds des murs intérieurs afin de dégager la terre et j'ai fait des carottages dans cette même dalle pour les mêmes raisons; le tout sera comblé  avec un mélange de chaux, de graviers et de sable;
- après de multiples recherches, j'ai découvert un produit à base d'argile( de marque Argilus) qui me servira de revêtement final.

Cela dit, il reste toujours le problème des murs qui sont nus pour l'instant.
Pensez-vous qu'une cloison en placo, pourvue de grilles d'aération et placée à 10 cm dudit mur, (laissant donc l'air circuler) suffirait pour éradiquer ce problème d'humidité ou à tout le moins en partie? C'est que je me suis renseignée auprès "d'experts" et j'ai eu des réponses radicalement opposées, comment choisir dans ce cas?



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Bonjour,
"Notez aussi que l'aide apportée par un forum sera celle d'amateurs plus ou moins éclairés agissant par altruisme pour le mieux et dans vôtre intérêt.
Mais qu'en aucun cas n'étant tenu à un contrat d'objectif la valeur même des conseils donné est intrinsèquement discutable."

Oui, c'est certain, mais  les différents avis m'ont permis jusqu'ici de commencer à me faire une idée du problème; une fenêtre s'ouvre pour ainsi dire et je sais qu'il me faudra du temps pour prendre un décision définitive.
Très cordialement




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Bonjour Arpèges,
"Ps : Vous n'avez pas posté dans le bon forum (mais comme Gérard a beaucoup d'humour il a laissé faire)"

Si, si, j'ai posté dans le bon forum, la digression, je crois bien que c'est vous qui l'avez introduite. Mais, nous n'allons pas mégoter pour si peu. Donc je me permets de reposer ma question:
" que dois-je mettre contre les murs que j'ai découverts?  Est-ce qu'un mélange de chaux et de chanvre est préconisé dans mon cas? Comment le poser,  à partir du sol, ou à 1 mètre seulement?"

Cela dit, je suis prête à écouter toutes les suggestions.
En vous remerciant pour votre aide.




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Bonsoir Gérard et Arpèges et merci pour vos réponses.

Le mur est en effet en partie enterré, entre 20 et 40 cm selon l'endroit, mais le rez-de-chaussée était une partie habitée aussi à l'origine et seul un tiers de la surface était réservé aux bêtes.
Quant au drain, il en existe un; ne serait-ce pas plutôt  l'isolant le coupable? 

Ah les champignons!!! Hélas, que dire?  Je joins un extrait de l'expert, Arpèges pourra m'éclairer peut être?


G – RESULTATS - Analyses terminées le mardi 3 mars 2015.
Genre : Coniophora
Espèce : puteana Type de pourriture induite : pourriture cubique brune Écologie : saprotrophe sur bois mort de feuillus et de conifères.
Phénologie : été à automne dans la nature, toute l’année dans les bâtiments. 
Remarques : cette espèce xylophage est très semblable et moins fréquente que les Mérules. Ses rhizomorphes ne peuvent transporter l'eau comme ces dernières. Elle cause des dommages similaires à ceux de Serpula lacrymans, infestant les bâtiments



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Bonjour à tous,

J'attends beaucoup de ce site, c'est dire mes tracas! C'est un appel au secours pour ainsi dire.

Voilà mon sujet: j'ai acheté récemment une maison dans les Vosges, à mi pente d'une colline, la maison est en grès rose, très poreux paraît-il; les murs du nord étaient tapissés d'isolants, soit placo/polystyrène, soit placo/laine de roche. J'ai fait enlever toute l'isolation en polystyrène et à 1 mètre du sol la  laine de roche, les murs étaient très humides, recouverts de lichen et autres pourritures du même genre; donc pour l'instant je les laisse  s'assécher un peu.

De plus, j'ai également enlevé un revêtement du sol qui était fait de bas en haut ( dalle béton+ film plastique+ novopan+ stratifié), et quelle catastrophe, tout était dans un état de putréfaction avancé et entre la dalle et le film plastique, j'ai découvert un champignon "supérieur" nocif mais pas autant que la mérule, selon le mycologue.
Vous voyez le tableau, tout est complet!

Pour commencer, car je reposerai d'autres questions, que dois-je mettre contre les murs que j'ai découverts?  Est-ce qu'un mélange de chaux et de chanvre est préconisé dans mon cas? Comment le poser,  à partir du sol, ou à 1 mètre seulement?
Je vous remercie pour l'intérêt que vous porterez à ma question.

















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