Bonjour,
Tout d'abord félicitations à tous les membres de ce forum et très heureux également de trouver ici un espace où soulager quelques questions quant à ma nouvelle maison. Celle-ci est donc une maison ancienne, située en sud-Corrèze, figurant déjà sur le cadastre napoléonien (1832). Les fondations sont probablement plus anciennes. C'est une maison en grès essentiellement, au sommet d'une bute, très exposée (sud). Elle est construite sur cave, partiellement enterrée puisque le terrain est en pente. Petite particularité, dans l'angle nord-est de cette cave, il y a un puit. Et sur le pignon sud, il y a une « excroissance » de maçonnerie, un très ancien cantou (large cheminée limousine/auvergnate) sur toute la hauteur de la maison, cave comprise.
Quelques questions à présent.
Cette maison a été maintes fois remaniée par le passé, entre autres dans les années 60-70 à grand coup de ciment (enduits intérieur + extérieur). En tombant l'enduit intérieur on a pu remarquer quelques faiblesses dans la maçonnerie. Je vous mets quelques photos.
On voit bien qu'une ouverture a été crée (jambage et linteau en béton armé) et qu'une autre a été bouchée avec du ciment et un meuble incrusté! Que faire ? Sachant qu'il y aura un enduit intérieur chaux-chanvre, est-ce que s'il reste par-ci par-là un peu de ciment dessous, par exemple autour de cette ouverture créée (correspondant à porte intérieure), où derrière ce meuble, est-ce gênant ?
Même interrogation sur les restes de ciment dans les pièces humides : la salle de bain, pour la décrire rapidement, c'est une boîte de placo hydrofuge dans une boite de plaques de polytstyrène sur rail, dans une boite de ciment. Bref, l'horreur. Mais par quoi faut-il remplacer tout ceci ? En faite, dans les pièces humides, comme la salle de bain, doit-on là-aussi respecter le principe de perspiration ? Ou faut-il y faire exception et étanchéifier au max ces pièces et donc éventuellement laisser comme ça ?
Voilà. J'ouvre un autre fil pour une autre question...
En vous remerciant.
Emilien