Bonjour,
Merci PP pour vos conseils qui finissent de me convaincre à prendre l’option légère pour ma structure. Parti comme un ignorant sur la solution « béton », j’avais même imaginé, pour épargner mes vieux murs, de faire filer deux poutres-béton de 20 sur 3,50ml (pour faire 7 métres) étayés par des puits isolés dosés à 350kg (dans le vide sanitaire donc), ceci pour supporter les poutrelles(portée de 5 m) du plancher sur hourdis.Mais que de travail en perspective ! (quoique faire des trous tous les cinquante, sur l’épaisseur du mur, c’est pas mal non plus) D’ailleurs, pour ce genre de structure béton, tout compris avec plancher chauffant, on est plus près des 40 cm d'épaisseur que des 35 qui sont vraiment un minimum. La solution « légère », de plus, est « sismiquement » préférable (je suis dans le 43), c’est donc du pain béni, et je m’associe modestement à l’enthousiasme de Cyril, que je félicite aussi pour ses magnifiques photos et donc son travail.
4 : Par contre, si ce n’est pas imcompatible, je reste avec mon idée de carrelage basique : c’est moi qui fais le ménage, à grandes eaux, presque tous les jours dans la cuisine,et je suis réticent à la terre cuite : Peut-être par ignorance. Si quelqu’un avait un avis d’utilisateur : la terre cuite, après traitement est-elle vraiment aussi « confortable » pour le nettoyage ? Est-ce aisé de la préparer, de l’imprégner correctement ? ( 70m2 à faire) Et ne faut-il pas régulièrement l’entretenir ?
3 : Pour le plancher chauffant, j’ai choisi cette option par prudence : je compte chauffer tout mon rez de chaussée avec un poele de masse ( briques, en auto-construction, la stéatite made in Finland est hors de prix !) mais la zone cuisine/salle à manger est pour partie à plus de neuf mètres, assez éloignée du rayonnement de poele. Le plancher chauffant, c’est pour les périodes de grands froids auvergnats,et ça m’embêterait de chauffer un mur plus ou moins déjà chauffé par le poele.
1 et 6 :Pour ce qui concerne le solivage, reposant sur les deux parements, j’ai une petite interrogation : étant donnée la souplesse du bois, les solives ne vont-elles pas de toute façon reposer sur le premier parement, lequel faisant pivot, aurait tendance à soulever la solive au niveau du deuxième parement ? Ou bien existe-t-il une mise en œuvre qui éviterait ce phénomène ?
Deuxième interrogation : pour ce qui concerne la zone accueillant tout le mobilier d’une cuisine, la mise en œuvre permet-elle, pour cette zone seulement, de prendre des solives plus hautes ( 30 par exemple), histoire de se rassurer, et peut-être de faire reposer les placards de rangement sur le plan de travail, ce quui m’éviterait de les suspendre au mur ?
Voilà où j’en suis de mes interrogations. Pardon d’avoir peut-être été long, et d’avance merci de votre attention.
dengoff